Les pains d’aujourd’hui et d’autrefois par Jean-Claude Duwiquet
Élément de base de notre alimentation depuis des millénaires, le pain fait partie de notre quotidien et est l’élément indispensable de tous les jours. La première forme alimentaire qui fut donnée aux céréales en Grèce, en Égypte et dans certains pays européens jusqu'à la fin du moyen âge s’avère être la bouillie d’orge, de blé, de sarrasin et d’avoine.
On retrouve encore actuellement cette bouillie, notamment en Bretagne (France) et en Écosse (porridge), ce qui inspire très fortement nos petits déjeuners composés de céréales et de corn flakes.
Berceau des arts et des sciences, l’Égypte est aussi le berceau de la boulangerie, et la vallée du Nil, l’endroit propice et très fertile où le paysan cultive des céréales comme du millet, du blé, de l’épeautre et de l’orge.
À cette époque, le broyage des graines s’effectue entre deux pierres et le pain obtenu est composé principalement d’eau, de sel, de levain et de cette farine tamisée plusieurs fois. Parfois la pâte est enrichie de graisse, d’œufs ou de miel.
À la suite des guerres, des migrations et du commerce, la culture des céréales et la fabrication du pain se répandent autour de la mer Méditerranée. Les Grecs en deviennent rapidement les spécialistes.
Comme les Grecs, les Romains sont tout d’abord perçus comme «des mangeurs de bouillie», mais très vite, suite à la conquête de la Macédoine en 148 avant Jésus-Christ, les années romaines ramènent des boulangers grecs, le pain devient bientôt un met très populaire et les boulangers des magistrats fortunés.
En France, dès le début de la monarchie, on trouve des boulangeries dans les villes, les abbayes, de même qu’à la cour des rois et des seigneurs.
Au fil du temps, notamment au XVIIIe siècle, pour les Français, le pain n’est plus seulement un aliment de base, il symbolise le sacré, l’espoir, la justice, la stabilité. Le pain rassure quand il est blanc et inquiète quand il est noir et vient à manquer.
En ville, les nobles et la bourgeoisie le mangent blanc (mie blanche) et à la campane, les paysans panifient eux-mêmes toutes sortes de céréales qu’ils peuvent trouver à leur disposition.
On dit que le pain, c’est un peu l’histoire de l’humanité : il a été le témoin privilégié au fil du temps de l’histoire des civilisations, des fêtes et des rites religieux suivant notre culture et nos origines. Symbole spirituel, le pain constitue l’élément de base de notre alimentation. On apprécie le pain de différentes manières, notamment au levain, aux épices, aux céréales sous toutes sortes de formes et de dénomination.
En France, actuellement, il y a une recrudescence du pain artisanal notamment grâce au pain de tradition française et autres pains au levain, ce qui oblige les boulangers à respecter certaines méthodes et empêche ceux-ci d’ajouter des conservateurs et autres améliorants, ce qui garantit aux consommateurs un produit de qualité et permet également de concurrencer les grandes surfaces.
Il faut savoir que lorsque nous achetons des pains spéciaux (céréales, noix, olives, etc.), ils sont beaucoup plus digestes lorsque ceux-ci sont rassis que de les manger frais du jour.
Parmi les pains les plus connus dans le monde , ceux les plus appréciés sont pour l’Amérique du Nord le hamburger, pour le Mexique la tortilla, en Scandinavie le pain plat norvégien, au Portugal le pain au mais, pour l’Irlande le pain aux pommes de terre, en Italie la ciabatta, en Hollande le pain aux fruits, en Grèce le pain pita, en Grande-Bretagne le crumpet, dans les pays de l’Est le pain au levain polonais, en Belgique la cramique, et en Allemagne le pumpernickel et le bretzel.
Berceau des arts et des sciences, l’Égypte est aussi le berceau de la boulangerie, et la vallée du Nil, l’endroit propice et très fertile où le paysan cultive des céréales comme du millet, du blé, de l’épeautre et de l’orge.
À cette époque, le broyage des graines s’effectue entre deux pierres et le pain obtenu est composé principalement d’eau, de sel, de levain et de cette farine tamisée plusieurs fois. Parfois la pâte est enrichie de graisse, d’œufs ou de miel.
À la suite des guerres, des migrations et du commerce, la culture des céréales et la fabrication du pain se répandent autour de la mer Méditerranée. Les Grecs en deviennent rapidement les spécialistes.
Comme les Grecs, les Romains sont tout d’abord perçus comme «des mangeurs de bouillie», mais très vite, suite à la conquête de la Macédoine en 148 avant Jésus-Christ, les années romaines ramènent des boulangers grecs, le pain devient bientôt un met très populaire et les boulangers des magistrats fortunés.
En France, dès le début de la monarchie, on trouve des boulangeries dans les villes, les abbayes, de même qu’à la cour des rois et des seigneurs.
Au fil du temps, notamment au XVIIIe siècle, pour les Français, le pain n’est plus seulement un aliment de base, il symbolise le sacré, l’espoir, la justice, la stabilité. Le pain rassure quand il est blanc et inquiète quand il est noir et vient à manquer.
En ville, les nobles et la bourgeoisie le mangent blanc (mie blanche) et à la campane, les paysans panifient eux-mêmes toutes sortes de céréales qu’ils peuvent trouver à leur disposition.
On dit que le pain, c’est un peu l’histoire de l’humanité : il a été le témoin privilégié au fil du temps de l’histoire des civilisations, des fêtes et des rites religieux suivant notre culture et nos origines. Symbole spirituel, le pain constitue l’élément de base de notre alimentation. On apprécie le pain de différentes manières, notamment au levain, aux épices, aux céréales sous toutes sortes de formes et de dénomination.
En France, actuellement, il y a une recrudescence du pain artisanal notamment grâce au pain de tradition française et autres pains au levain, ce qui oblige les boulangers à respecter certaines méthodes et empêche ceux-ci d’ajouter des conservateurs et autres améliorants, ce qui garantit aux consommateurs un produit de qualité et permet également de concurrencer les grandes surfaces.
Il faut savoir que lorsque nous achetons des pains spéciaux (céréales, noix, olives, etc.), ils sont beaucoup plus digestes lorsque ceux-ci sont rassis que de les manger frais du jour.
Parmi les pains les plus connus dans le monde , ceux les plus appréciés sont pour l’Amérique du Nord le hamburger, pour le Mexique la tortilla, en Scandinavie le pain plat norvégien, au Portugal le pain au mais, pour l’Irlande le pain aux pommes de terre, en Italie la ciabatta, en Hollande le pain aux fruits, en Grèce le pain pita, en Grande-Bretagne le crumpet, dans les pays de l’Est le pain au levain polonais, en Belgique la cramique, et en Allemagne le pumpernickel et le bretzel.